Les veines et les artères ne représentent que 20% de notre réseau sanguin.
Si l’on fait l’analogie avec le réseau routier, elles s’apparentent aux autoroutes et nationales. Le « réseau secondaire », appelé « microcirculation » composé de dizaines de milliers de capillaires sanguins, constitue quant à lui 80% de la circulation sanguine totale de notre corps, d’une longueur évaluée à 100.000 km ( dont 100 km uniquement dans le cerveau) !
Libérer le « réseau secondaire » des radicaux libres !
Ces micro-vaisseaux jouent un rôle primordial en apportant aux cellules de proximité l’oxygène et tous les nutriments dont elles ont besoin, tout en évacuant les toxines et les déchets.
Mais ces capillaires sanguins sont tellement fins, que parfois , un seul globule rouge peut passer à la fois, et encore, en s’aplatissant…. Lorsqu’ils sont endommagés ou colmatés, le flux sanguin se trouve ralenti voire stoppé. Les cellules sont alors affamées, assoiffées et étouffent par manque d’oxygène. Cela conduit à la mort cellulaire et à la dégénérescence.
Or les radicaux libres (molécules chimiques instables) produits par notre organisme et synthétisés dans les cellules lors de réactions avec l’oxygène, viennent perturber la fluidité de la microcirculation sanguine.
Conséquence, les organes directement alimentés par les vaisseaux capillaires en sont affectés.
A l’âge de la retraite,
il ne reste, chez beaucoup de personnes, en moyenne
que 40% de leur réseau capillaire fonctionnel.
Le cerveau et le système nerveux sont particulièrement sensibles aux effets néfastes des radicaux libres. Avec l’âge, les dommages causés par les radicaux libres peuvent s’accumuler dans le cerveau, entraînant un déclin cognitif et d’autres maladies comme la démence et la maladie d’Alzheimer. Le maintien d’une fonction mentale optimale est l’un des principaux objectifs du laboratoire SYNAPSYA.
Protéger la microcirculation avec la taxifoline.
Contenue en grande quantité dans le mélèze de Sibérie, la taxifoline est une molécule naturelle qui fait partie de la famille des flavonoïdes.
Appelée aussi Dihydroquercétine ou DHQ, la taxifoline exerce une activité antioxydante beaucoup plus puissante que la majorité des flavonoïdes en renforçant les capillaires affaiblis tout en diminuant leur perméabilité.
Les flavonoïdes sont utilisés en médecine chinoise
pour leur action anti-oxydante
renforçant l’élasticité et l’étanchéité des vaisseaux sanguins.
Elle est aussi un antiagrégant plaquettaire, ce qui signifie qu’elle empêche les plaquettes sanguines de s’agréger et de se fixer sur la paroi des micro-vaisseaux ( la formation de plaques dans les micro-vaisseaux du cerveau peuvent réduire le flux sanguin de 20%).
De nombreuses études conduites depuis les années 1950, démontrent que la taxifoline empêche les neutrophiles (globules blancs pro inflammatoires) d’attaquer des régions vulnérables du cerveau et d’y adhérer. Elle assure ainsi une neuro-protection essentielle contre les lésions oxydatives qui se produisent lorsque le cerveau ne reçoit pas suffisamment de sang et d’oxygène.
En plus du déclin cognitif qui accompagne souvent le vieillissement, les fonctions critiques comme la perception, la pensée, le langage et la conscience peuvent être affectées.
En protégeant les cellules du cerveau et du système nerveux central, la taxifoline peut aider à prévenir certains des changements les plus dévastateurs associés au vieillissement.
En assurant une meilleure microcirculation sanguine,
la taxifoline permet aussi une meilleure efficacité
des traitements allopathiques.