Animée par Pascal Auclair, rédacteur en chef de Ma santé en Rhône Alpes, cette table ronde sur le thème « du végétal au cérébral » accueille 3 intervenants aux expertises différentes : Dr Didier Lechemia, médecin généraliste, homéopathe et conférencier sur le burn out, France De Coudenhowe Kouw, directrice de France Santé Pharma et experte en phytothérapie et médecine naturelle et enfin Philippe Bourgeat, concepteur des solutions de neuro-phytothérapie chez Synapsya.
Contrairement à beaucoup de laboratoires, c’est une innovation produit qui est à l’origine de la création de Synapsya. En effet, lorsque Philippe Bourgeat, commercial chez Labrha, laboratoire lyonnais spécialisé en rhumatologie, découvre que 50% des lombalgies sont dues au stress, germe alors l’idée qu’en agissant sur cet état de stress, les douleurs ressenties de la lombalgie et plus globalement des maux de dos seraient soulagés également. C’est ainsi qu’est né Phytozac, un complément alimentaire pour la gestion du stress, créé en collaboration avec France de Coudenhove Kouw.
« Phytozac touchait le domaine de la neurologie, il nous a donc semblé logique
avec Patrick Sac-Épée,fondateur de LABRHA, de créer le premier laboratoire
de neuro-phytothérapie en France : SYNAPSYA », rajoute Philippe Bourgeat.
Les troubles liés au dysfonctionnement du cerveau.
La mission du laboratoire est d’apporter des solutions naturelles et ciblées de neuro-phytothérapie à toutes les personnes ayant, à un moment de leur vie, des troubles liés au dysfonctionnement du cerveau. Et cela, toujours avec un usage simple et pratique.
En effet, la neuro-phytothérapie est une branche de la phytothérapie, une discipline qui existe depuis la nuit des temps et qui implique le fait de se soigner par les plantes, donc de manière naturelle.
La nature est un réservoir infini d’idées et une source de recherche et développement extraordinaire, dont on ne connait encore qu’une infime partie. Synapsya s’inspire de l’intelligence des plantes pour proposer des compléments alimentaires aux synergies d’actifs naturels et efficaces pour le cerveau humain (et nous en avons bien besoin !).
En effet les indicateurs officiels le prouvent : nous assistons à une dégradation de la santé globale et à une augmentation générale de nombreuses maladies. Et lorsque l’on s’intéresse aux maladies neurologiques… l’augmentation est colossale : 1 Français sur 10 souffre de dépression et 1 Français sur 2 souffre de troubles de sommeil. L’augmentation la plus importante (et qui, de plus, est exponentielle) regroupe les pathologies du travail et du stress. En 2022, 11,3 millions sur les 27 millions de salariés sont en souffrance au travail.
Comme le dit Dr Lechemia, « s’il y a bien une pathologie qui a augmenté, c’est le burn out… ».
Zoom sur le burn out.
Terme moins connu, le « burn in » est la phase qui précède le burn out : la personne a encore des ressources, est efficace et se donne à fond dans son travail.
Le burn out représente l’état où tout bascule : l’individu qui est en burn in depuis au moins 6 mois, bascule alors dans la perte d’efficacité et l’épuisement. Dans la définition traditionnelle, les causes de cet épuisement sont professionnelles mais les répercussions dans la sphère personnelle sont évidemment très importantes.
A contrario, la dépression, que l’on compare souvent à tort au burn out, surgit quant à elle brutalement, d’un coup. Les raisons peuvent être diverses et ne sont pas forcément professionnelles.
Le burn out à des conséquences dramatiques sur l’individu mais pas seulement.
Au niveau sociétal, cette pathologie provoque pour les entreprises la perte d’individus engagés et performants. Ces derniers sortent du circuit professionnel pendant en moyenne 8 mois et souvent changent d’entreprise ou de service à leur reprise.
Au niveau personnel, il faut en moyenne de 6 mois à 2 ans pour guérir d’un burn out. Sachant que 15% des personnes ne seront plus en capacité de travailler à la fin de ces deux ans car ils auront perdu une partie de leurs capacités cognitives.
Il y a donc un besoin essentiel de prise de conscience du phénomène dans les entreprises pour éviter ces chiffres alarmants.
Du burn in au burn out.
Du côté des médecins et des thérapeutes, leur rôle est bien sûr de percevoir et décoder les divers signaux d’alerte du burn in. En les présentant au patient, ils l’aident à sortir du déni, à prendre conscience de son état émotionnel dégradé et donc à agir avant d’arriver au stade de burn out.
Il existe au total 132 signes d’alerte pour identifier un burn in : des signes physiques (fatigue, insomnie, maux de tête, vertige…), des signes émotionnels (hypersensibilité plus importante, anxiété…), des signes comportementaux (repli sur soi, isolation sociale), des signes motivationnels (absence d’envie, de motivation à aller au travail) ou encore des signes cognitifs (impression « de ne plus avoir de cerveau »).
Or certaines personnes regroupent 10 à 20 de ces symptômes… pour autant il serait impensable de leur proposer 20 solutions différentes (soit souvent 20 comprimés différents). Il faut donc s’attaquer à la racine du problème et ne pas simplement effacer les symptômes.
C’est ici que la neuro-phytothérapie trouve tout son sens :
réguler et rééquilibrer biologiquement le cerveau pour supprimer le problème
et de cause à effet soulager les symptômes.
Les médecines douces, un changement de mentalité.
Lorsque le Dr Lechemia s’est installé en tant que médecin généraliste, il y a plus de 30 ans, l’utilisation de la phytothérapie, d’où la neuro-phytothérapie tire son origine était réservée à une « élite », des gens ayant déjà une culture de la santé et des plantes. Au fil des années, il a vu s’accroître l’intérêt pour ces solutions naturelles et son accès se démocratiser.
Ceci est dû notamment au fait que de plus en plus de personnes se méfient du « tout allopathique » et cherchent donc des alternatives. De plus, il est désormais bien établi que la complémentarité entre médecins et thérapeutes (notamment naturopathes) est essentielle pour une prise en charge optimale de certains patients.
Cette synergie entre solutions naturelles et allopathiques est également à la base d’une volonté de plus en plus présente de faire de la prévention. Grâce à un accès plus facile à l’information dû à internet, les gens se forment, s’intéressent, comparent les différentes options et sont vigilants sur ce qu’ils achètent.
Reste cependant de la responsabilité des médecins et des thérapeutes de proposer des produits efficaces et de qualité, produits par des laboratoires de confiance.
Les solutions naturelles de neuro-phytothérapie
Originale dès sa conception, Synapsya se démarque des grands laboratoires par une expertise unique et spécifique sur le marché avec la neuro-phytothérapie.
Par exemple, Synapsya est le premier laboratoire de compléments alimentaires à différencier les hommes et les femmes dans la gestion du stress et les troubles du sommeil. Ceci vient du fait que certaines molécules agissent mieux sur les hommes que sur les femmes : par exemple, les hommes ont plus de mal à assimiler le magnésium. La taurine étant un cofacteur du magnésium (et aidant donc à son assimilation), elle a été rajoutée dans les formulations de Phytozac Homme et Cyclosomnia Homme ; mais elle n’est pas présente dans les versions Femme.
En outre, la solution de Synapsya pour les troubles du sommeil, Cyclosomnia, n’est pas un simple ersatz de somnifère classique, mais bien un régulateur d’horloge interne. Encore une fois l’objectif n’est pas d’effacer les symptômes mais bien d’éliminer la cause et de retrouver son équilibre.
De même, Synapsya a différencié la mémoire de la concentration : la concentration est l’encodage de l’information, alors que la mémorisation est le fait de retrouver cette information. Deux mécanismes différents donc deux solutions différenciées (Neuro 20-60 et Neuro 50+).
Enfin, VG3+ est composé d’oméga 3 végétaux et non animaux. Un choix assumé car les oméga 3 animaux, provenant en majorité des poissons gras, sont synonymes de métaux lourds pour les poissons sauvages, et de pesticides et antibiotiques pour les poissons d’élevages. L’algue Schyzochitrium utilisée dans VG3+, en plus d’avoir une biodisponibilité bien plus importante que l’huile de poisson, ne contient aucune substance chimique ni trace de métaux lourds. A noter également que la production d’une tonne de microalgues absorbe 2.2 tonnes de CO2, réduisant ainsi l’empreinte carbone et participant à la protection de l’environnement. Au contraire la production d’un litre d’huile de poissons (utilisé dans les compléments alimentaires d’Oméga 3 non végétaux) nécessite une demi-tonne de poissons, ce qui entretient donc le problème de la surpêche.
Et comme le notifie Mme De Coudenhowe, le déséquilibre entre oméga 3 et oméga 6 a de nombreuses conséquences. Son ratio moyen actuel de 1 sur 20 (au lieu de 1 sur 5) provoque des effets pro-inflammatoires. La prise d’oméga 3 peut alors avoir des effets sur les douleurs des cervicales par exemple mais aussi sur la concentration.
Le bestseller du laboratoire reste Taxifoline 20, un produit à la composition simple et très efficace : de la vitamine B2 qui assouplit les globules rouges et de la Taxifoline, extraite du Mélèze de Sibérie. Ce produit est destiné à la microcirculation : un réseau qui représente 80% de la circulation sanguine totale, et qui a donc des effets sur le cerveau mais aussi sur l’intégralité du corps. Son objectif est de prendre soin du contenant (le micro-vaisseau) et non pas du contenu (le sang) et donc de renforcer cette microcirculation.
Sans compter les produits conçus spécialement pour les enfants : Hyperkid et Somnikid.
Pour Hyperkid les effets sont visibles par les parents… mais aussi par les maîtres et maîtresses !
Enfants plus zen, plus à l’écoute… il permet d’apaiser naturellement les enfants agités, et ainsi de retrouver le calme.
Avec Somnikid les enfants s’endorment plus facilement et retrouvent un sommeil plus apaisé et réparateur.
A noter que seul un produit de la gamme a des contre-indications : Neuro 50+ (pour la mémoire) qui est interdit, par précaution, lors de prise de médicaments contre Alzheimer.
En effet, Neuro 50+ est composé d’huperzine A, un principe actif contenu dans l’Huperzia Serrata, une herbe chinoise poussant sur les hauts plateaux. L’huperzine A inhibe l’activité de l’enzyme “acétylcholinestérase” dont le rôle est de dégrader l’acétylcholine. En inhibant partiellement l’acétylcholinestérase, l’huperzine A contribue donc à augmenter ou à maintenir les taux cérébraux d’acétylcholine, un neurotransmetteur permettant la communication et la transmissions d’informations entre les neurones.
Or de nombreux traitements conventionnels pour l’Alzheimer utilisent le même principe de fonctionnement, il n’est donc pas recommandé de cumuler les deux, au risque d’effets secondaires.
Une neuro-phytothérapie qui s’inscrit dans une vision globale.
Que ce soit dans une utilisation thérapeutique ou de prévention pour soutenir son organisme, la prise de compléments alimentaires de neuro-phytothérapie va de pair avec un mode de vie sain.
Une alimentation équilibrée et une pratique physique régulière est indispensable et ne saurait être remplacée.
Seul laboratoire spécialisé dans la neuro-phytothérapie, Synapsya propose une gamme courte (10 produits) mais couvrant au moins 80% des problématiques neurologiques (qu’elles soient cognitives ou émotionnelles). Son objectif est d’être précis dans la synergie des principes actifs de ses formulations et pratique dans son usage. Pas besoin donc de liste d’ingrédients à rallonge ; mais plutôt de quelques actifs bien sélectionnés.
Tout le monde est concerné au cours de sa vie par des troubles liés au dysfonctionnement du cerveau, que ce soit par le stress, les troubles de sommeil, de mémoire ou encore de concentration. Il était donc primordial d’utiliser le savoir et les effets de la phytothérapie pour apporter des solutions adaptées à tous, en prévention ou en utilisation thérapeutique. C’est là que la neuro-phytothérapie prend tout son sens et nous l’espérons donnera de l’espoir à toutes les personnes en ayant besoin.
La prochaine aventure de Synapsya ?
Un test grandeur nature pour permettre au plus grand nombre de ressentir les effets bénéfiques
de la neuro-phytothérapie. En partageant leur retour d’expérience par leurs témoignages,
ils seront les témoins objectifs de l’efficacité de cette nouvelle discipline.
Rendez-vous en Septembre pour le début de l’aventure « 90 jours pour prendre soin de son cerveau ».
Découvrez la table ronde en vidéo en cliquant ici.