Quand l’intelligence
du Végétal
nous inspire pour aider
le cerveau
à bien se comporter
01 . LA GÉNÈSE
Nous cherchons tous, à certains moments de notre vie à améliorer notre bien-être.
Le nôtre, mais aussi celui de ceux qu’on aime, dans notre cocon familial ou dans notre sphère sociale. Dans le bruit assourdissant d’une multitude de contenus, de livres, de comptes sur les réseaux sociaux, d’émissions traitant ce sujet très convoité et d’actualité, dans un contexte anxiogène multi- factoriel, nous cherchons, dans cette quête, à détecter les vrais pistes concrètes et efficaces.
C’est pour cela que le laboratoire Synapsya s’est appuyé depuis la génèse du projet sur un axe de travail indiscutable : Les 3,8 milliards d’années de R&D opéré par La Nature.
Nous la voyons comme un véritable vivier d’idées sophistiquées, habiles, optimisées.
Et savoir s’inspirer de ce savoir-faire, c’est générer des innovations pour l’Humain,
son bien-être et son confort de vie, de façon durable.
Notre histoire, chez Synapsya est intimement liée à l’intelligence du végétal qui de tout temps a nourri des formules
pour prendre soin des Hommes. Un monde végétal qui, en formant plus de 80% de la biomasse, s’avère aujourd’hui indispensable pour l’humanité. Car si les plantes peuvent très bien vivre sans nous, nous ne survivrions pas longtemps sans elles.
À l’heure où l’on recherche d’autres modes de vie, où les ressources naturelles s’épuisent, nous avons tant à apprendre de l’intelligence du végétal pour la survie et l’avenir de l’Homme.
02 . DE L’INTELLIGENCE DU VÉGÉTAL
Chez SYNAPSYA nous militons en faveur de l’incroyable ingéniosité des plantes avec un angle précis : la neurobiologie végétale.
Alors les plantes sont-elles intelligentes ? Oui, et bien plus que nous pourrions l’imaginer.
Sans la présence des plantes sur notre Terre, celle-ci ressemblerait beaucoup à Mars ou à Vénus, à une boule de roche stérile. Les plantes tiennent sous leur dépendance tous les autres organismes vivants du globe. A travers la photosynthèse, la flore produit la totalité de l’oxygène libre. L’humain a réussi l’exploit de provoquer un changement drastique de son environnement, au point de le rendre dangereux pour sa propre survie. Cela tient notamment à son incompréhension totale des règles qui régissent le fonctionnement d’une communauté d’êtres vivants. Notre habitat commun, notre Terre, la « maison de la vie », la seule connue dans l’univers entier, se limite en fait à une couche superficielle allant de 10 000 mètres au-dessous à 10 000 mètres au-dessus du niveau de la mer, soit une petite vingtaine de kilomètres (1*). D’après la Fondation pour la recherche sur la biodiversité, on apprend que la biomasse marine ne représente qu’un pourcent de la biomasse totale, la biomasse souterraine 42% et la biomasse terrestre 57%. Les plantes représentent plus de 82% de l’ensemble du vivant (2*).
Ces merveilles d’inventivité naturelle sont à la base de toute vie animale. Avant d’être terrestres, et pendant les neuf dixièmes de la durée totale de leur existence, les plantes ont été exclusivement aquatiques – leur odyssée a sans doute commencé avec une petite algue bleue tapie, il y a
3,5 milliards d’années, au fond des océans et qui, en inventant la photosynthèse, allait bientôt se repeindre en vert. Et puis, il y a 450 millions d’années, les algues deviennent les premiers êtres vivants à poser le pied sur la terre ferme (3*).
Les plantes sont fixées au sol par leurs racines qui les approvisionnent en eau et en éléments minéraux, leurs feuilles captant l’énergie solaire pour fixer le carbone du gaz carbonique. Ces processus essentiels de la vie terrestre sont donc réalisés par des organismes immobiles.
Les plantes doivent donc pouvoir s’adapter aux conditions contrastées et fluctuantes de leur environnement, sans la possibilité de trouver un habitat plus favorable que leur permettrait le mouvement, comme c’est le cas chez les animaux.
Qu’il vente, qu’il pleuve, qu’il neige, qu’il gèle… les plantes sont là !
C’est en effet une de leurs caractéristiques que de s’adapter à des conditions très fluctuantes de l’environnement. Les végétaux ont à faire face à des écarts de température, de luminosité et d’humidité très importants selon le moment de la journée, les saisons, et les lieux où ils poussent. La nature des sols détermine aussi des conditions particulières pour la croissance et le développement des plantes. Des carences importantes en nutriments minéraux (azote, phosphore
…) peuvent exister dans les sols, ou à l’inverse des toxicités délétères dues à l’excès
de métaux toxiques (cadmium, plomb, aluminium …) peuvent survenir. Certaines eaux d’irrigation, ou des terrains en bord de mer, sont à l’origine de stress salins perturbant les processus normaux de nutrition des plantes. Ces fluctuations de l’environnement physique favorisent la répartition géographique des plantes selon leur capacité d’adaptation à un biotope donné (4*).
Les animaux voient avec leurs yeux, entendent avec leurs oreilles, respirent avec leurs poumons, raisonnent avec leur cerveau etc. Les plantes aussi voient, entendent, respirent, raisonnent avec la totalité de leur corps (5*).
Comme les êtres humains et les animaux, les plantes sont dotées d’une capacité de proprioception, c’est-à-dire qu’elles ont une perception de leur propre forme et posture, leur permettant de contrôler leurs mouvements et de maintenir leur droiture. Des cellules spécialisées permettent ainsi à la plante de percevoir sa courbure, de connaître son inclinaison, afin de mettre en oeuvre un processus de redressement, lorsque le végétal a été incliné par une tempête par exemple. Il existe une forme d’apprentissage et d’anticipation chez la plante, qui fait preuve de mémoire (6*).
Dans l’ensemble des végétaux, plusieurs centaines de capteurs sensoriels de type thermique, mécanique, chimique, lumineux sont identifiés. De nombreux laboratoires de recherche au sein d’instituts et d’organismes scientifiques ont mis en évidence que les plantes et les arbres communiquent de diverses manières – signaux chimiques dans l’air ou dans le sol, odeurs, signaux électriques, etc. dont les effets sont liés à la notion de défense par rapport à un danger, d’attraction ou de répulsion.
Il existe plusieurs niveaux de communication selon que les plantes sont de la même espèce ou non ; il en est de même pour les arbres. Il est observé, par exemple, qu’en cas de grand vent ou de pression mécanique, la plante émet de l’éthylène qui sera analysé par les plantes voisines
: un tel message d’alerte va favoriser un durcissement de leurs tiges même si elles ne sont pas directement impactées. De même, pour se reproduire, les plantes ont développé des méthodes
complexes pour attirer les insectes ou oiseaux pollinisateurs (zoogamie) : les feuilles changent de couleur, elles émettent des senteurs, etc. (7*).
Les plantes démontrent des capacités cognitives fascinantes. Elles sont douées d’une mémoire car traitent des données en permanence, communiquent entre elles, sont capables de prendre des décisions en interaction permanente avec leur environnement (8*).
Les plantes, grâce à leur sensibilité à la lumière, sont donc capables d’obtenir des informations de position, de forme, de clarté et de couleur à l’instar d’un œil. En effet, la réception de la lumière et sa discrimination est probablement infiniment plus déterminante pour la vie des plantes que pour l’œil humain dont le rôle premier est l’orientation dans l’espace. Si un humain peut très bien vivre daltonien, achromate, ou même aveugle, la perception des longueurs d’onde de la lumière est vitale pour les plantes. Elle régule la croissance des tiges et des feuilles, la germination, l’orientation des chloroplastes, la photosynthèse, la floraison, la synthèse de pigments, etc. (9*).
Les plantes sont prêtes à tout pour maintenir l’équilibre le plus stable avec leur milieu : décroître, s’épaissir, s’amenuiser, s’enrouler sur elles-mêmes, se courber, grimper, ramper, changer de morphologie, cesser de pousser… De la pollinisation à la défense contre les prédateurs, de la recherche de nutriments à la résistance au stress, le monde végétal est un exemple de maitrise de l’art du vivre ensemble.
03 . À L’INTELLIGENCE DU CERVEAU
Cette immersion se poursuit par son lien indéniable avec une autre intelligence qui comporte de nombreux points communs avec l’intelligence du végétal, une intelligence que vous expérimentez au quotidien, concentré dans l’”objet” le plus méconnu de l’univers et pourtant si proche : l’intelligence du cerveau.
Les capacités des plantes ont l’air insoupçonnées. Des signaux électriques à propagation rapide sont produits en réponse à de nombreux stimuli : des pluies acides, une irradiation, un choc froid, une attaque d’agents pathogènes…des signaux électriques…tout comme les signaux qui permettent aux synapses de communiquer et de transmettre de l’information dans le cerveau grâce aux neurones, les piliers de notre intelligence.
Les plantes sont donc d’une grande sensibilité pour s’adapter, tout comme notre cerveau, tout aussi sensible aux émotions, aux perturbations, aux changements de rythme.
Les spécificités du monde végétal ont des similitudes claires avec notre cerveau. Et en grand nombre. Des similitudes de comportement mais aussi en termes d’imagerie. N’avez-vous remarqué que le système racinaire des plantes ressemble au système neuronal d’un cerveau ?
Notre laboratoire Synapsya a donc conçu des produits issus du monde végétal pour impacter positivement notre cerveau, au quotidien, pour notre bien-être sur des problématiques que nous rencontrons tous et toutes à différentes étapes de nos vies : concentration, mémoire, stress, sommeil, surcharge émotionnelle, circulation sanguine…
Synapsya a développé une expertise innovante complète en neuro-phytothérapie, représentant la quintessence du monde végétal : Acérola, camomille, taurine, tilleul, gingembre, valériane, huperzia, bacopa, rhodiola…associés à d’autres ingrédients issus de la nature : gelée royale, omega 3, vitamines B1, B6, B12, magnésium marin, potassium, zinc…
Nous sommes les seuls spécialistes de cette discipline et nous comptons tout faire pour engager nos parties prenantes, collaborer sans cesse, nourrir notre passion et continuer de nous inspirer de l’intelligence du végétal pour aider le cerveau à mieux se comporter.
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LES SOURCES
(*1) : https://livre.fnac.com/a15275310/Stefano-Mancuso-Nous-les-plantes
(*2) : https://www.actu-environnement.com/ae/news/frb-biodiversite-repartition-biomasse-biosphere-31717.php4
(*3) : https://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/comment-les-plantes-ont-conquis- la-terre-ferme-1148367
(*4) : https://www.encyclopedie-environnement.org/vivant/vie-fixee-plantes-contraintes/
(*5) : https://www.pthorticulture.com/fr/zone-du-savoir/respiration-des-plantes-notions-de-base/
(*6) : https://www.notre-planete.info/actualites/323-intelligence-communication-vegetaux
(*7) : https://hal.science/hal-03744904/document
(*8) : https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/la-revue-de-presse/l-intelligence-du- monde-vegetal-9538497
(*9) : https://www.inrae.fr/actualites/du-comportement-vegetal-lintelligence-plantes
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Patrick
Sac-Épée
Le Dirigeant
de
Synapsya
visionnaire
& humaniste
Au commencement était l’algue bleue
Seule sur une terre hostile.
Pas un dinosaure pas un kangourou pas même une musaraigne, rien qu’une pauvre cellule sans bras ni jambe sans migraine ni déclaration d’impôt.
Et pourtant elle vit.
Mieux avec ses sœurs tranquillement obstinément elle capte le carbone et rejette l’oxygène.
Une seule cellule pas de noyau, la base.
Un génie.
5 h de soleil 14 kg de gaz carbonique et bing je te sors 22 kg d’oxygène de l’alambic. Un génie je vous dis.
Et que je te transforme en à peine quelques millions d’année une planète inhabitée en un éden prêt à accueillir toutes les créatures.
La photosynthèse : avec nos gros cerveaux on est toujours incapable de s’en approcher.
Alors que dire des fougères à la sexualité débridée, des séquoias immortels enfin presque, des edelweiss pieds nus dans la neige, des plantes carnivores qui font la nique aux herbivores.
Et chaque année le même génocide ; de votre tondeuse à gazon qui broie la prairie à l’Amazonie qui pleure en silence ses frères et ses sœurs débités en planches pour faire des salons de jardin dans des banlieues pavillonnaires grisâtres.
Où se trouve alors la sagesse ? Qui détient la plus grande intelligence ?
Pouvons-nous nous inspirer de nos ancêtres enracinés ? Peut-on transférer un petit peu des qualités millénaires du végétal à l’humain ?
Notre mémoire, notre concentration, notre activité cérébrale peuvent-elles trouver écho dans ces êtres immobiles ?